Une dernière (ayaez pitié du nombre de pieds approximatifs et de l'air vague, elle a été composée sur place entre la poire et le fromage)
Le Seigneur des Afonds
Air : La geste de sœur odette et frère Luc
Sorti des Enfers, incarné sur notre Terre
Une fourche à la main et dans l’autre un bac de bière
Venu défier et soumettre d’une main de fer
Tous les étudiants, les grandes gueules, les âmes fières
A force d’afonds, un à un je les vise
Les cercles, les corpos tombent sous mon emprise
Les ordres et les guildes tombent sous mon emprise
R
Je n’ai pas peur, je vous dit mon nom
Les gens m’appellent le Seigneur des Afonds
Car je bois mon verre plus vite que l’éclair
Quelle affaire !
J’en suis fier !
Une nuit sans lune à la Rabelais je suis entré
Les tribus naines de l’ULB chantaient, buvaient
D’un air méfiant, ils m’ont demandé qui j’étais
Ils ont rigolé, les comitards ont appelé
Les 9 rois des bleus qui d’vant moi se présentent
Leurs ventres énormes en cadence se balancent
Ils furent, un à un, terrassé par ma puissance
R
Je n’ai pas peur, je vous dit mon nom
Les gens m’appellent le Seigneur des Afonds
Car je bois mon verre plus vite que l’éclair
Quelle affaire !
J’en suis fier !
Un autre soir sur les elves je suis tombé
C’était à l’Isti, ils m’ont invité à bruncher
La Corona, ça n’soule pas, ça fait pisser
C’est à coup d’ Leffe que j’ai du les achever
Puis j’ai vu les hommes de la Guilde et leurs pommes
De vrais chevaliers et leurs femmes des Amazones
Je leur ai appris comment on boit et on affone
R
Je n’ai pas peur, je vous dit mon nom
Les gens m’appellent le Seigneur des Afonds
Car je bois mon verre plus vite que l’éclair
Quelle affaire !
J’en suis fier !
Me balladant dans les cercles dans les cafés
Les guindailleurs, un à un j’ai rencontré
A part Jacques Cotte que l’Balrog avait mangé
Ils ont pleuré, ont craché, ont dégeulé
Devant ma puissance, ils ont courbé la tête
Et m’ont reconnu comme seul seigneur et maître
Seigneur des Afonds, oui tu es notre maître
R
Je n’ai pas peur, je vous dit mon nom
Les gens m’appellent le Seigneur des Afonds
Car je bois mon verre plus vite que l’éclair
Quelle affaire !
J’en suis fier !
Un soir d’automne, les hobbits m’ont invité
Et leur herbe à pipe, ils m’ont montré comment fumer
Après 4 joints, à coups d’chope j’ai attaqué
L’instant d’après, dans les WC je vomissais
Couché sur le sol, vaincu par l’herbe folle
La pièce tournait et mes jambes étaient molles
Wa le mauvais trip m’a dit Bilbo, y faut qu’tu dormes
R
Et c’est ainsi, ces être insignifians
M’ont terrassé, je sais, c’est affligeant
Et j’ai perdu mon alliance en dégueulant
Ma femme m’attend
C’est emmerdant …