Carpe Diem

Pour ceux ayant lu, mon dernier topic, vous vous rappellerez qu'il y a dix-sept pages vierges à compléter. Ce serait bien si on pouvait se retrouver samedi ou dimanche, que l'on ramène les chansons qu'on aime bien (vous savez, cette farde avec plein de guindailles originales qui traine quelque part chez vous), qu'on les chante entre nous et que l'on décide lesquelles pourront combler ce vide. Accessoirement, je pourrais toujours aller chercher l'un ou l'autre bac de bière
Ce message est à transmettre à tout membre de la guilde intéressé (je pense plus particulièrement aux vieux cons mal connectés)

Cela se passera 23 rue d'Oultremont, 1040 Etterbeek. L'heure reste à définir suivant la motivation de la plèbe.

ouiouioui, j'en suis! De préférence samedi soir.

Ni samedi, ni dimanche ne m'arrange -> sans moi.

Y a toujours moyen si je suis prevenu deux jours avant!!!

ne trainer pas!

Alors?

Vu le peu d'intérêt... Rendez-vous pour ceux qui veulent 23 rue d'Oultremont ce soir à partir de 20h. Emportez les chants que vous désirez chanter avec nous ce soir pour nous convaincre de le mettre dans le Carpe

dommage pour les deux jours à l'avance, ce soir je ne pourrai pas venir j'ai... (accrochez vous) un concours de chant, où je vais bien entendu me ridiculiser complètement

juju a écrit:

dommage pour les deux jours à l'avance, ce soir je ne pourrai pas venir j'ai... (accrochez vous) un concours de chant, où je vais bien entendu me ridiculiser complètement

Je te répondrai sur ce sujet lors de la réu, faut pas me tendre des perches comme ça

Désolé mais j'ai déjà autre chose ce soir mais je propose toujours mes guindailles (cf zone Ca c'est une bonne guindaille) "les aventures de Julie", simple et sympa et "carpe diem en 78 tours" qui, je trouve, le ferait bien dans le carpe...

Je ne serai pas là pour les défendre mais bon, faites comme si j'étais là.

Tralala ou les aventures de Julie, Roger, Renée et cie
Air : Le petit pont de bois de Y. Duteuil

C’était un petit pré tout entouré de haies
Bien loin de la cité au fin fond d’la Hesbaye
Et sur ce petit pré ignorant les ennuis
Paissait une brebis qui se nommait Julie
Et Roger le bélier vint passer son museau
Lui fit son numéro, ça donna des agneaux

Firmin et Noémie, Robert et puis Sylvie
Jean-Pierre et puis Henri, tous les agneaux d’Julie
Dans le pré plein de fleurs gambadaient tous sans peur
La suite démontra que c’était une erreur
Un camion arriva, les agneaux emporta
Sur la route s’en alla sans faire de tralala

C’était une p’tite usine au find fond d’la Campine
Qui se nommait VanMoore, boucherie en gros mais fine
Tout près d’un autoroute et d’un terrain de foot
Ca sentait le mazout, y’ avait une fuite sans doute
Le camion arriva, les agneaux débarqua
Le boucher un peu las bien vite les égorgea

Firmin et Noémie, Robert et puis Sylvie
Jean-Pierre et puis Henri, tous les agneaux d’Julie
Furent prop’ment découpés, salés, assaisonnés
Hachés, conditionnés, emballés, congelés
Un camion arriva, les paquets emporta
Sur la route s’en alla sans faire de tralala

C’était une boucherie non loin d’une industrie
L’boucher avait une fille qui était très jolie
Dans la banlieue d’Bruxelles on ne parlait que d’elle
De son pâté au sel et de ses mortadelles
Le camion arriva, ses paquets débarqua
La jeune fille salua et puis il s’en alla

Firmin et Noémie, Robert et puis Sylvie
Jean-Pierre et puis Henri, tous les agneaux d’Julie
Furent mis en magasin, entre un paquet d’boudin
Du pâté aux raisins, du civet d' marcassin
Une voiture se gara et un client entra
10 kilos acheta sans faire de tralala

C’était comme chaqué été un barbecue trempé
Dehors il pleuvait, les gens étaient gelés
Le charbon s’éteignait à cause d’l’humidité
La fumée empestait mais il fallait manger
Du frigo on tira les paquets qu’étaient froids
Et on les apporta près du feu glaglagla

Firmin et Noémie, Robert et puis Sylvie
Jean-Pierre et puis Henri, tous les agneaux d’Julie
Furent déposés vite fait sur la grille surchauffée
Ils y furent dégelés et puis carbonisés
Tout noirs on les r’tira. On les distribua
Aux gens qui étaient là sans faire de tralala

La côté encore rosée, la brochette toute cramée
Me font penser au pré du fin fond d’la Hesbaye
La merguez noircie baignant dans l’eau de pluie
Me rappelle Julie qui n’a jamais d’soucis
La d’ssus je prend une bière et je remplis mon verre
Un peu de mayonnaise fera passer l’affaire

Epilogue I à l’usage des inquiets et des sensibles

C’était un petit pré tout parsemé de fleurs
Les averses de l’été l’arrosaient à toute heure
Julie se demandait où ses enfants étaient
Partout elle cherchait mais jamais ne trouvait
Puis Roger le bélier vint passer son museau
Lui fit son numéro, ça donna des agneaux

Hector et Nathalie, Jean-Marc et puis Sophie
Oscar et puis Marie, tous les agneaux d’Julie
Dans le pré plein de fleurs gambadent tous sans peur
Dans un an ils verront que c’est bien une erreur
Quand comme chaque été, on viendra les chercher
Pour les carboniser sur une grille surchauffée

Epilogue II à l’usage des végétariens et des macrobiotiques

C’était un potager au fin fond d’la Hesbaye
Ou la salade Renée poussait sans se presser
Ses feuilles elle chauffait au soleil de l’engrais
Quand on vint l’arracher à sa terre tant aimée
Le lendemain matin, Renée et ses copains
Posaient sur un écrin dans le grand magasin

Renée fut achetée, emmenée et lavée
Et puis hachée, coupée, vinaigrée, mélangée
Après tout un bazar, je vous passe l’histoire
Elle fana quelque part dans un beau salad-bar
Finit sa brève vie dans une panse remplie
Mangée en compagnie des enfants de Julie

Morale

J’pourrais vous raconter l’histoire de Jérôme
Le bœuf aux hormones tout plein de mélanomes
Ou celle de Léon, le brave petit saumon
Dans son élevage lapon plein de chlore et de plomb
Sans oublier Justine, la poule de Campine
Qui picore l’herbe fine près des fûts d’dioxine

Tout ce que l’on digère, ça a fait des misères
Y a vraiment que la bière qu’on peut boire sans colère
Pensez à vos artères, pensez à votre cancer
Jetez l’assiette par terre et levez votre verre
Et songez à Roger, le plus beau des bélier
Grâce à nous chaque été, son coup il peut tirer

CARPE DIEM EN 78 TOURS
Air : Le Gorille de l'autre, là ...
Sauf les Adieu Sophie qui se chante comme le refrain des Stances à Sophie


En pleine ballade des cocus
D’une salope je déprimais
Ma femme est morte, c’est entendu
De profundis, elle m’a plaqué
L’bordel a fermé ses volets
Dire qu’elle t’appelais bite d’acier
Tich o mon tich, faut l’oublier
Cette romance du 14 juillet

Adieu Sophiiiiiiiiiiiiiie pom pom pom pom

Mon pote Etienne qu’est légionnaire
De cette pierreuse veut m’consoler
C’est à boire qu’il nous faut mon frère
Qui m’dit et c’est tellement vrai
Allons au bal de l’hôtel-dieu
J’y cherche fortune tous les jeudis
Pour la guindaille, y a pas mieux
A la tienne Etienne mon ami

A nous les fiiiiiiiiiilles pom pom pom pom

Y’a là Caroline la putain
Et son amie Nini Peau d’chien
La p’tite Hughette et puis Julie
Fanchon, Léon et Valérie
Entre boudins et tequila
On va gerber, ça rat’ra pas
Ca ça qu’on boive, amusons-nous
L’plaisir des dieux, il est pour nous

A nos verres viiiiiiides pom pom pom pom

Mais v’là qu’au bar, je vois Margot
C’est la jeune fille du métro
Que j’croise souvent à Genevilliers
En descendant la rue Tronchet
Elle m’dit j’ suis la fille de Gonthier
Qui est l’gendarme de Redon
J’m’appele Nicaise, j’suis enchanté
J’suis un jeune homme de Besançon

Qu’elle est joliiiiiiiiiie pom pom pom pom

Chez elle le chien s’appelle Hubert
Le père Adam, la mère Gaspart
Son frère était vétérinaire
Un homme au puissant braquemart
Joueur de Luth exceptionnel
Qu’aimait les branleuses de taureaux
Qu’avait rien du berger fidèle
Du fils-père, c’était un salaud

Je veux cette fiiiiiiiille pom pom pom pom

Le p’tit vin blanc lui fait d’l’effet
Ca devient une étrange affaire
Je vais t’faire un p’tit parcours-santé
Tire ta ceinture et laisse-toi faire
Mais moi je baise avec ma pine
Sans mettre les capotes anglaises
Bah ton gourdin a bonne mine
Baisons sans capote Nicaise

Allons-y viiiiiiiiiiiiiiite pom pom pom pom

Pense qu’il faut se r’tirer avant
D’accord mais suce moi le gland
Si je t’encule, tu aimeras bien
J’encule à sec et c’est divin
Va te faire voir, tape ta pine
J’suis vaginale et c’est sublime
Le cul d’ma blonde me donn’ra bien
Quatre jouissances avant l’matin

J’aime cette fiiiiiiille pom pom pom pom

La digue du cul des heures dura
Quelle mémorable corrida
Mais aux aurores, ma pine se meurt
A soixante coups à son compteur
Auprès d’ma blonde le lendemain
Les poils du cul encore en main
Elle m’dit ma que guindaille cette nuit
Ta bite c’est Elephant Story

Elle est gentiiiiiiiiiiille pom pom pom pom

Tiens v’là ma fille Clementine
Elle est étudiant en médecine
Nous r’partons d’main à Paramé
Jérôme son père y est ouvrier
Fais pas cette tête mon bon ami
J’ai pas b’soin d’un Tamagoshi
Ce qu’tu voulais t’en souviens-tu ?
C’était mon cul, ben tu l’as eu

Margot que j’aimais tant …

Entre la belle et l’cantonnier
Je suis le cocu de Paramé
C’est moi le con et la bouteille
Me tend la main dès le réveil
La dispute du cul et du con
Se noya dans le Loch Lomon
Les mères d’à présent on fait mieux
Ah que nos pères étaient heureux !

Reviens Sophiiiiiiiiiiie pom pom pom pom

Changement de lieu (je sais, c'est tard): rue de l'Orme 42(c'est deux rues plus loin), sonner "sous-sol"

Pour ceux qui viendront sans regarder le forum avant, je laisserai un mot et un mini plan sur la porte

Très bonne soirée hier, nous avions deux bacs de jup'... pour deux

Il nous reste encore une farde de chants ainsi qu'une pile de guindailles à passer en revue et ce sera fini. Prochaine date à définir encore, mais si vous voulez être sûr de pouvoir venir, proposez m'en une.

Nous avons par ailleurs déjà plus de chants que de pages disponibles, donc j'afficherai la liste des chants à rajouter pour que la sélection naturelle fasse son office

Il est vraiment urgent de finaliser.
J'ai entendu que les fleurs du mâle allaient être rééditées (info ou intox).
Pour rappel, on voulait quand même passer commande chez l'imprimeur en septembre... Et pas 2008...

A mon avis, il doit être envoyé pour la fin de la semaine au + tard.
Donc, Gilles, ce serait cool (si ce n'est déja fait) de contacter l'imprimeur pour réactualiser le devis. Merci d'avance.

alors, les fleurs d'apres ce que l'on m'a dit est ressorti!!!!!!!!


et en vente a 14€ si j'ai bien compris!

je conseillerait de prendre une décision sur les chants. à la limite choko, prends les propositis avec mardi et fais le passer à tout le monde (comme j'avais fait à la réu carpe au gauaguin)

les chants avec le plus de votes on les met de dans
et on envoie le bazar

ça sera rapide et efficace.

Pfff on va encore perdre du temps.
Mets les guindailles de Boubou et tant pis s'il y a des pages blanches.
Sinon, fuat attendre que des gens votent, attendre pour compiler les résultats, etc... -> perte de temps pour pas grand chose en plus.
Enfin, ce n'est que mon avis.

Revoici la version simple des chants que j'imprime quand je préside un cantus.
Voir le Fichier : tri_chants_simple_gp_y5fk5p4tod.doc

en vrac, j'ai des trucs que je pourrais taper:
boudins&tequila
bleu revint
in memoriam
machin jerome
bleu, bleu bleu quand ils arrivent
parcours santé
le coquin curé
si vous voulez/n'avez pas

tout ça en editions tachée de bière entre autre, survivantes de nombreuses aventures....

Le souci n'est pas là. Mais bon, si personne ne veut donner son avis, pas de problème.
On fera quelque chose de bien

Et mes deux guindailles, elles puent le pâté ?

oui...

Pas taper, non pas taper!!!!!

Retourne dans ton fauteuil, toi...

Eeeeeeeeeeeeetttttt,

On frappe pas un homme assis!!!, C'est mal!!!